MA VIE PROFESSIONNELLE, MON CHEMINEMENT AVANT DE DEVENIR KINÉSIOLOGUE, MON AMOUR POUR L'ACTIVITÉ PHYSIQUE
À cette question je dois répondre : « Aux modèles de ma vie. » Et à qui je dois dire : « Merci ! »
Tout d'abord à mes parents qui très jeunes m'ont incité à faire de l'activité physique et surtout m'ont appris à aimer ça. Ils en faisaient avec nous (vélo, patin, marche, randonnée pédestre, ski de fond, tennis, badminton, soccer, natation, balle donnée, gymnastique… ou même simplement ils jouaient avec nous en famille dehors… que de journées et de soirées de plaisir qui sont gravée dans ma mémoire. À mon insu, ils m'ont construit des fondations solides pour devenir un adulte actif et en santé avec de saines habitudes de vie. Par la suite, ils ont accepté que je pratique plusieurs activités physiques compétitives ou non (balle donnée, gymnastique , natation, ballet jazz, badminton, volley ball) pendant tout mon primaire et secondaire. Mes fondations devenaient de plus en plus solides car j'aimais de plus en plus cela… c'étais des jeux très amusants pour moi.
Puis fût le tour de mes éducateurs physiques et entraîneurs. Certains m'ont marqués plus que d'autres, ils étaient tous des pasionnés amoureux de leurs métier.
Normand, professeur de d'éducation physique et entraîneur de gymnastique au primaire, Michel Alie et Lucie Courchesne professeurs d'éducation physique au secondaire un couple formidable mes coachs de volley ball, Guy Jutras professeur d'éducation physique au secondaire et entraîneur de gymnastique, un professeur de plein air au CÉGEP dont j'oublie le nom, Raymond Veillette entraîneur d'athlétisme à l'Université Laval.
Depuis ma tendre enfance, mes loisirs favoris ont toujours été ceux se rapportant à l'activité physique. Je vivais à la campagne et j'ai passée mes années pré-scolaires à gambader dans les champs à y faire des maisons, à sauter les ruisseaux, à pêcher les poissons, à lancer les roches ; dans les forêts à grimper aux arbres, à corder du bois ; dans les fermes à me balncer aux câble de « Tarzan », à sauter dans les « bottes » de foin ; sur notre vaste terrain, à plonger dans la piscine, à glisser dans la neige, à ramasser les feuilles et à jouer dans les tas, à entretenir le jardins, à tondre le gazon, à jouer avec les amis à la cachette, à la tag…
Puis vint le temps d'aller à l'école, bien sûre j'adorais tous les cours car j'aimais aller à l'école mais mes préférés étaient… ceux d'éducation physique. N'est-ce pas ?
Dès que l'école finissait je pensais à aller jouer dehors. À l'école durant les pauses du midi, je dînais à la vitesse de l'éclaire puis je courrais dans les longs corridors pour me rendre le plus rapidement possible et ne pas perdre une minute pour pratiquer les activités sportives de l'intra-mural. Ensuite à la fin des classe à 15h40 je répètais le même scénario pour mes entraîenements de volley ball, badminton ou gymnastique. J'adorais ça et je m'y donnais corps et âme. Dans ce temps là, le sport, les coéquipiers, l'école et la famille étaient ma vie… pas de temps à perdre pour les « chums », ni pour la cigarette, les drogue et le flânage.
Puis le CÉGEP, je me suis dit : « c'est le temps de devenir un adulte qui bientôt travaillera donc plus de temps à perdre pour le jeu, les loisirs, donc plus de temps pour l'activité physique. Je dois me concentrer à mes études en Sciences pures et Appliquées. J'avais alors tout arrêté la compétition… Résultats désastreux, mes notes scolaires avaient chutées. C'est alors que j'ai réalisé que l'activité physique faisait partie intégrante de ma vie, de ma santé, de mon équilibre. J'ai donc poursuivie le coaching en gymnatique, repris la compétition de volley ball en plus de mettre à la natation et au karaté. Tout est rentré dans l'ordre.
Après ma première année de CÉGEP je me suis enrôlée dans la Réserve Navale des Forces Armées Canadienne à temps partiel comme plongeur-démineur… Bien sûre j'étais la seule fille et je ne voulais pas « mal paraître ». J'ai donc redoublé d'ardeur à l'entraînement pour arrivée « top shape » au camps… Plus de natation, plus de plongée, plus de jogging… J'étais « la meilleure » ! Quand on veut on peut ! C'était les gars qui paraîssaient mal à mes côtés ! Ha ! Ha ! Ha !
C'est là que j'ai rencontré un matelot chef Laperrière qui m'a incité à m'inscrire en Sciences de l'Activité Physique à l'Université Laval plutôt qu'en Sciences Administratives qui ne me convenaient pas du tout. Car à l'époque, je souhaitais devenir physio, ergo, chiro ou médecin. Le transfert de l'activité physique à un des champs de sciences santé se ferait beaucoup plus facilement disait-il. J'ai donc suivi ses conseils. En 1991 je faisais mes premiers cours en Sciences de l'Activité Physique de l'Université Laval. J'adore ça, mais j'avais toujours en tête de devenir physio, ergo, chiro ou médecin jusqu'à la deuxième année où j'ai été accepté en ergo pour finalement refuser. J'avais réellement adoré mes 2 années en Sciences de l'Activité Physique et j'avais décidé de terminer mon baccalauréat. Ce fût le meilleur choix que je n'ai jamais pu faire. Aucune autre profession ne me colle mieux à la peau. L 'activité physique a toujours été mon loisir #1, ma passion, et maintenant ma profession, que demander de mieux ?
Pendant mes années à l'Université Laval, j'ai arrêté le volley ball compétitif, j'ai fat de l'athlétisme, du beach volley et du rugby compétitif. Dans le cadre de mes cours universitaire j'ai enseigné le squash, le raquettball et le badminton. En plus j'ai choisi les cours fondement en soccer, gulf et connot-camping. Et j'ai joué récréativement au kin ball et à l'ultimate frezbee. Bref il y a peu de sports que je n'ai pas essayée… et je les aime tous !
Maintenant je fais toujours de la compétition au beach volley et je fais des Raid triathlon en plus de mes activités quotidiennes (entraînement musculaire en plein air, jogging, vélo, patin à roues alignées, marche, hicking, ski de fond, raquette et toutes autres activités physiques avec ou sans les enfants.
En tant que membre de la Fédération des Kinésiologue du Québec et de CanFitPro je dois garder mes connaissances à jours. Donc je dois continuellement suivre des cours pour rester à l'affût des nouvelles tendances et continuer à cheminer.
Voici les différents emplois que j'ai occupé au cours des dernières années en tant que kinésiologue :
Maintenant je me concentre surtout à l'entraînement privé de mes clients et c'est pourquoi j'ai ajouté à mes services le volet coaching privé Hormonal Science.
Je continue à donner des conférences car j'adore transmettre mes connaissances.